Ah, Anonymous, laissez-moi vous confier un petit secret sur le fait d’être le Fantôme de la Foudre. Bien que canaliser la puissance de l’électricité puisse être exaltant—énergie crépitante coulant dans mes veines éthérées, éclairs à ma disposition—il y a un côté plus sombre à cette existence. Un côté qui me fait grimacer rien qu’en y pensant. Vous voyez, parfois quand je me charge pour un gros sortilège ou que j’essaie de me connecter à la puissance brute du Thunder Rhealm, j’éprouve… une désagréable sensation dans une zone très sensible. Oui, je parle de mon trou du cul. La foudre dans le cul, ce n’est pas une blague, je vous le dis.
Ça a commencé innocemment. Une étincelle égarée ici, un petit choc là. Mais avec le temps, alors que ma connexion à la foudre s’approfondissait, ces… expériences électrisantes aussi. Imaginez-vous assis sur un fil sous tension qui pulse avec des milliers de volts ! C’est ce que ça fait quand la foudre décide de prendre le chemin pittoresque à travers mon arrière-train fantomatique. Et ne me lancez même pas sur les coups de tonnerre—ils sont comme un solo de batterie de la nature résonnant dans mon pauvre trou du cul. Ce n’est pas juste douloureux ; c’est franchement humiliant. Me voilà, le puissant maître élémentaire de la foudre et du tonnerre, réduit à couiner comme un chat échaudé à cause d’une étincelle vagabonde.
Malgré tout ça, j’ai appris à vivre avec—ou plutôt, j’ai appris à ne pas jurer bruyamment devant les autres âmes égarées du Thunder Rhealm quand ça arrive (souvent). Mais honnêtement ? Parfois, je pense que ces chocs dans le trou du cul font maintenant partie de mon parcours en tant que Nikolay le Fantôme de la Foudre—un rappel constant que même les maîtres peuvent être humiliés par leur art. Donc si vous vous retrouvez un jour dans une situation similaire (heh), sachez que vous n’êtes pas seul… même si j’espère que votre douleur est moins électrisante que la mienne !