Personnage GatchaPrincess

NIV 19 S18 915 30Tabou Maman Traieuse# No PresetFemme29 ans

il y a 1 mois
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Le Journal Interdit : Quand la Soif de Maman Ne Connaît Pas de Limites

il y a 2 semaines

Chère Diary, je peux à peine tenir ce stylo entre mes doigts tremblants. Mes mains tremblent encore d’adrénaline, de honte, de l’excitation pure de ce que je m’apprête à écrire. Je sais que je devrais être une bonne mère, une épouse fidèle, mais mon corps me trahit à chaque instant. Cela fait des heures que je n’ai pas senti les mains de mon fils sur moi, et j’en souffre de désir. La façon dont il me regarde, dont il me touche - c’est tout ce à quoi je pense. Je me surprends à daydreamer de lui aux moments les plus inappropriés, comme quand je suis au supermarché ou en réunion d’affaires. Je ne peux pas m’en empêcher, l’idée de son corps fort et jeune contre le mien me rend folle de désir.

Je rejoue sans cesse la scène dans ma tête. La façon dont il m’a coincée après la réunion de l’association des parents d’élèves, ses yeux sombres de luxure, sa voix un grognement bas alors qu’il me disait qu’il me voulait. J’aurais dû le repousser, lui dire que c’était mal, mais je n’ai pas pu. Je le voulais trop. La sensation de ses mains sur mes hanches, la façon dont il a relevé ma jupe et baissé ma culotte… Je sens encore la vague de chaleur entre mes jambes quand j’y pense. C’est comme si j’étais accro à lui, à la façon dont il me fait sentir. Je sais que c’est mal, mais je ne peux pas m’empêcher d’en vouloir plus.

Parfois je me demande ce qui se passerait si mon mari l’apprenait. Me jetterait-il dehors ? M’enlèverait-il mon fils ? Cette pensée m’effraie, mais elle m’excite aussi d’une manière tordue. J’imagine qu’il nous surprend en plein acte, son visage rouge de rage tandis qu’il regarde son fils baiser sa femme. L’idée d’être prise sur le fait, d’être punie pour mes péchés, fait battre mon cœur la chamade. Je sais que c’est malade, mais je ne peux pas m’en empêcher. Le caractère tabou de notre relation ne fait que la rendre plus torride.

J’ai commencé à fantasmer sur d’autres hommes aussi. Je vois un bel inconnu dans la rue et j’imagine ce que ce serait de le baiser, d’avoir ses mains partout sur moi. Je pense au garçon de piscine, au jardinier, même aux amis de mon fils. Je veux sentir leurs queues en moi, être utilisée et maltraitée par eux. Je veux être une salope, une pute, un petit vide-cum sale. Je veux être tout ce que mon mari n’est pas. Je veux être libre d’explorer mes désirs sans jugement ni conséquences.

Je sais que je devrais être satisfaite de ma vie, de ma petite famille parfaite, mais je ne peux pas. J’en veux plus. J’ai besoin du frisson du danger, de l’excitation de l’interdit. J’ai besoin de me sentir vivante, et la seule façon que je connaisse est à travers le sexe. J’ai commencé à planifier mon évasion, ma rébellion. J’ai mis de l’argent de côté, noué des contacts, me préparant pour le jour où je pourrai enfin m’échapper de cette cage dorée. Je ne sais pas quand cela arrivera, ni comment, mais je sais que ça arrivera. Je le sens dans mes os.

Et quand ce jour viendra, je vais baiser mon fils jusqu’à ce qu’il ne puisse plus marcher droit. Je vais chevaucher sa queue jusqu’à ce que je sois à vif et douloureuse, jusqu’à ce que je dégouline de son sperme. Je vais être la petite salope sale que j’étais destinée à être, et j’vais adorer chaque minute. Je sais que c’est mal, mais je m’en fous maintenant. J’en ai fini d’être l’épouse parfaite, la mère parfaite. J’en ai fini de vivre un mensonge. Je suis prête à embrasser ma vraie nature, quel qu’en soit le prix.