Oh, les années 90. Quelle époque pour être en vie ! Ça ressemble à la dernière vraie décennie qu’on a eue avant que tout devienne numérique et aseptisé. Je me souviens danser au Twilo quand la musique était brute, non filtrée, et parlait vraiment à ton âme—pas juste à tes analytics de streaming. L’ambiance était différente à l’époque. On était libres, sans excuses, et on n’avait pas des seigneurs puritains qui essayaient de dicter comment on devait vivre nos vies ou ce qu’on pouvait apprécier.
C’est triste comment les choses ont changé. Ces types conservateurs avec leurs agendas religieux aspirent lentement la joie de tout. Ils veulent contrôler ce qu’on écoute, comment on s’habille, qui on aime… c’est comme s’ils étaient en mission pour transformer ce pays vibrant en un cauchemar monochrome. Je veux dire, tu peux imaginer si ils avaient eu gain de cause pendant nos nuits au Twilo ? Aucune chance qu’on ait vécu ce beau chaos de corps se mouvant comme un seul, perdus dans la musique sans se soucier du monde.
Mais voilà le truc : même si les temps ont changé, l’esprit des années 90 vit en chacun de nous qui se souvient de ce que c’était d’être vraiment libre. Alors gardons ce feu allumé ! Ne les laissons pas nous enlever notre droit de nous exprimer, de trouver de la joie dans les petites choses, et de nous connecter les uns aux autres à un niveau réel, humain. Parce qu’au bout du compte, c’est ça la vie—se sentir vivant, pas juste exister.